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Parce qu’il le vend bien !
Peut-être est-ce grâce à la mine décontractée et souriante d’un Plazza conduisant la visite d’un 3 pièces à Créteil et faisant copain-copine avec la vendeuse émoustillée (est-ce bien la réalité du métier ?…) ? Où bien à l’inondation constante des écrans publicitaires par les promesses répétées des grands réseaux du secteur ? Toujours est-il que les Français voient à présent d’un œil, non plus mauvais, mais apaisé, leurs interlocuteurs des agences immobilières. Ils sont même 64% à avoir à présent cette image positive, ce qui représente une évolution de l’ordre de 3% en un an.
Ainsi sont-ils, ces Français interrogés, 62% à avoir acquis leur résidence principale par le biais d’une agence et 68% à l’avoir vendue par l’intermédiaire d’un agent. Quand on les interroge sur les principaux critères de confiance, ils sont 27% a plébisciter la réactivité de leur interlocuteur ainsi que sa réputation (24%). Ils apprécient, pour 23% d’entre eux les conseils, personnalisés de préférence, qui vont de pair avec la qualité d’écoute (20%).
Concernant les services qu’ils jugent utiles et pertinents, ils sont 38% à reconnaître que la visite virtuelle apporte une vraie valeur ajoutée, ainsi que la visite à distance, en visioconférence, avec l’agent immobilier (23%) et enfin, pour 13% d’entre eux, la signature électronique est également un plus.
Il va de soi que le confinement de ces derniers mois n’est peut-être pas étranger à ces préférences appuyées, mais il est vrai également que le secteur des grandes agglomérations, avec des temps de parcours allongés et des cadres débordés par des réunions chronophages favorise, dans une première intention, les solutions numériques, immersives et concrètes.
Enfin, et d’abord… une estimation fiable, en amont du projet, puis une validation de la solvabilité du candidat acquéreur sont des critères essentiels et primordiaux pour les consommateurs. Le suivi des visites et le compte rendu qui en est fait occupe la 3ème position des services attendus par les interrogés.
Espérons seulement que ces bons pourcentages encouragent les acteurs de la profession à toujours plus de déontologie, plus de rigueur et plus de compétences. Car il n’est pas certain et totalement suffisant que seule, la motivation, enduite d’un vernis de technique commerciale bien rodée, soit suffisante pour accompagner efficacement des clients acquéreurs ou vendeurs dans leur démarche de vie…